Moyen-Orient et Asie centrale

Page: 1 de 3 1 2 3

2021

le 11 avril 2021

Perspectives économiques régionales : Mieux construire l’avenir au sortir de la pandémie

Description: Un an après le début de la pandémie de coronavirus (COVID-19), la course de vitesse entre les vaccins et le virus est entrée dans une nouvelle phase au Moyen-Orient et en Asie Centrale, et le chemin vers la reprise économique en 2021 devrait être long et différer d’un pays à l’autre. Les perspectives varieront considérablement en fonction de la trajectoire de la pandémie, du déploiement des vaccins, des fragilités sous-jacentes, de l’exposition au tourisme et aux secteurs à forte intensité de contacts, et enfin de la marge de manœuvre et des interventions gouvernementales. En 2021–22, les besoins de financements publics bruts devraient rester élevés dans la majorité des pays émergents de la région, avec des risques de détérioration de la situation en cas de resserrement des conditions financières mondiales ou si les rééquilibrages budgétaires tardent en raison d’une reprise moins vigoureuse que prévu. L’année 2021 sera celle des politiques visant à continuer de sauver des vies et protéger des moyens de subsistance ainsi qu’à promouvoir la reprise, tout en préservant impérativement la viabilité de la dette et la résilience financière. Dans le même temps, les dirigeants ne doivent pas non plus perdre de vue les défis de la transformation : il s’agit de mieux construire l’avenir et d’accélérer la transition vers des économies plus inclusives, résilientes, durables et vertes. La coopération régionale et internationale sera le complément indispensable de politiques nationales déterminées.

2020

le 19 octobre 2020

Perspectives économiques régionales : Moyen-Orient et Asie centrale

Description: Les pays des régions Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan (MOANAP) et Caucase et Asie centrale (CAC) ont réagi à la pandémie de COVID-19 en prenant rapidement des mesures strictes afin d’en atténuer la propagation et les répercussions, mais continuent de faire face à un environnement incertain et difficile. Les pays exportateurs de pétrole ont été particulièrement touchés par le double choc des retombées économiques des confinements et de la chute de la demande et des prix du pétrole. Dans l’immédiat, il reste prioritaire de maitriser la crise sanitaire, d’atténuer les pertes de revenus et d’accroître les dépenses sociales. Cependant, les pouvoirs publics doivent aussi commencer à poser les jalons de la reprise et de la remise en place d’économies plus solides, notamment en s’attaquant aux séquelles de la crise et en renforçant l’inclusion.

le 13 juillet 2020

Mise à jour des perspectives économiques régionales : Moyen-Orient et Asie centrale

Description: La région Moyen-Orient et Asie centrale (MOAC) a réagi à la pandémie mondiale de COVID-19 en prenant rapidement des mesures contraignantes qui ont permis de sauver des vies. Ces mesures ont cependant eu de vastes répercussions sur l’activité économique de chaque pays. Alors que plusieurs pays de la région commencent à ouvrir ces dernières semaines et que l’activité reprend légèrement depuis peu, l’augmentation du nombre de cas pourrait présenter des risques. Un net déclin des cours du pétrole qui s’ajoute à une réduction de la production dans les pays exportateurs de pétrole et à des perturbations du commerce et du tourisme ont créé de nouvelles turbulences. Une contraction de 4,7 % est maintenant prévue pour la région en 2020, soit un taux de croissance inférieur de 2 points de pourcentage à celui prévu en avril 2020.

le 15 avril 2020

Faire face à la pandémie de COVID-19 au Moyen-Orient et en Asie centrale

Description: Les pays de la région du Moyen-Orient et de l’Asie centrale subissent deux grands chocs qui se renforcent l’un l’autre, entraînant une forte révision à la baisse des projections de croissance pour 2020. Outre les effets dévastateurs sur la santé, la pandémie de COVID-19 et la chute des prix du pétrole causent de sérieuses turbulences économiques dans la région ; les pays fragiles et les pays touchés par un conflit devraient particulièrement souffrir, compte tenu de leurs problèmes déjà considérables dans le domaine humanitaire et sur le plan des réfugiés, ainsi que de l’insuffisance de leurs infrastructures sanitaires. La priorité immédiate est de prendre des mesures pour sauver des vies et engager les dépenses de santé qui s’imposent, quel que soit l’espace budgétaire disponible, tout en protégeant les moteurs de la croissance par un appui ciblé aux ménages et aux secteurs durement touchés. Dans ce contexte, le FMI fournit une aide d’urgence aux pays de la région en cette période difficile. À terme, les pays devront promouvoir la reprise économique en adoptant de vastes mesures budgétaires et monétaires s’ils disposent d’une marge de manœuvre, et en sollicitant une aide extérieure si cette marge est réduite.

2019

le 28 octobre 2019

Perspectives économiques régionales pour le Moyen-Orient et l'Asie centrale

Description: L’impact des vents contraires mondiaux sur la croissance des pays de la région Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan (MOANAP) reste modéré jusqu’à présent. Cependant, la croissance demeure trop faible pour répondre aux besoins de populations en pleine expansion, tandis que les risques pesant sur les perspectives ont augmenté. Il s’agit de l’incertitude entourant le commerce mondial, de la volatilité des cours pétroliers, des tensions géopolitiques et de la vulnérabilité intérieure dans certains pays.

le 18 avril 2019

Mise à jour : Perspectives économiques regionals - Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan

Description: La croissance a fléchi dans la région du Moyen-Orient, de l’Afrique du Nord, de l’Afghanistan et du Pakistan, mais elle reste plus ou moins stable dans la région du Caucase et de l’Asie centrale. La volatilité des prix du pétrole, la baisse de la production pétrolière et le durcissement des conditions monétaires intérieures dans la plupart des pays exportateurs de pétrole accentuent les répercussions négatives du ralentissement de la croissance mondiale. Le niveau élevé de la dette publique dans les pays importateurs de pétrole limite leur capacité à s’attaquer aux besoins infrastructurels et sociaux cruciaux, entrave leur croissance et les rend vulnérables aux chocs extérieurs. La dégradation de l’environnement extérieur rend d’autant plus urgente, dans toutes les régions, la poursuite d’un rééquilibrage budgétaire propice à la croissance et de réformes structurelles pour renforcer la résilience et réaliser une croissance tirée par le secteur privé qui soit plus élevée et plus inclusive.

2018

2017

Page: 1 de 3 1 2 3