Bienvenue sur le site du Bureau FMI du Représentant Résident en Rwanda. Cette page Internet fournit des informations sur les activités du FMI en Rwanda et sur les relations entre le Rwanda et le FMI. Un complément d'information est accessible sur la page principale du pays : Le Rwanda et le FMI, où vous trouverez des rapports officiels et des documents du Conseil d'administration du FMI sur Rwanda.
Aperçu général
- Membres actuels : 191 pays
- Le Rwanda a rejoint le Fonds le 30 septembre 1963.
- Quota total : 80,10 millions de DTS
- Encours de crédits : 9,72 million de DTS
- Consultations de 2012 au titre de l’article IV (En anglais)
Actualités
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La résilience des pays en développement
Les pays émergents et en développement ont remarquablement résisté au récent marasme économique.
le 13 novembre 2012
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Pleins feux - Finances et développement
Au Rwanda, bien que le paludisme soit la principale cause de morbidité et de mortalité
le 29 juin 2007
Courriels frauduleux usurpant l'identité du FMI
Nous souhaitons informer le public que plusieurs variantes de lettres financières frauduleuses, prétendument délivrées par le Fonds monétaire international (FMI), ou prétendument signées de la main de représentants du FMI, sont actuellement diffusées par courriel à des fins d’escroquerie. Elles utilisent parfois l’entête officielle et le logo du FMI. Ces lettres frauduleuses demandent aux victimes potentielles de contacter le FMI afin d’obtenir « certificat de virement de capitaux international » ou d’autres formes de garantie, qui leur permettraient de recevoir d’importantes sommes d’argent. Il arrive aussi que ces lettres prétendent offrir un prêt en échange de frais de négociation. Le courriel de la personne à contacter est toujours BOGUS et il est demandé aux victimes potentielles d’envoyer leurs informations bancaires personnelles, qui seront ensuite utilisées par les fraudeurs pour mener à bien leurs escroqueries.
Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez lire cet article (en anglais)
Rwanda et le FMI
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Divergence de croissance en Afrique subsaharienne
le 14 novembre 2024
La stagnation des revenus dans les pays d’Afrique subsaharienne riches en ressources naturelles appelle à une gestion budgétaire plus efficace et à des réformes structurelles d’envergure.
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Comment éviter une crise de la dette en Afrique subsaharienne ?
le 26 septembre 2023
La dette publique dans la région atteint des niveaux jamais observés depuis des décennies.
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le 22 juin 2023
À la suite d’un accord conclu avec le Fonds monétaire international au titre de la facilité pour la résilience et la durabilité, le gouvernement du Rwanda, en collaboration avec l’Agence française de développement (AFD), la Banque européenne d’investissement (BEI), la Cassa Depositi e Prestiti (CDP) et la Société financière internationale (SFI), annonce aujourd’hui le lancement d’une coopération en faveur de la résilience du Rwanda face au changement climatique, dans le but de faciliter les partenariats public-privé, d’accroître le financement de l’action climatique et d’attirer des investissements privés, pour un montant de 300 millions d’euros supplémentaires.
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le 1 mai 2023
Les pays devront renforcer leur résilience pour gérer les reconfigurations inévitables des échanges et des investissements directs étrangers.
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60e anniversaire du départment Afrique du FMI
le 10 décembre 2021
Perspectives économiques régionales : Afrique subsaharienne
le 25 octobre 2024
Reforms amid Great ExpectationsLes pays d’Afrique subsaharienne mettent en œuvre des réformes difficiles et indispensables pour rétablir la stabilité macroéconomique et, bien que les déséquilibres globaux aient commencé à se résorber, la situation est hétérogène. Les dirigeants sont confrontés à trois principaux obstacles. Premièrement, la croissance régionale, attendue à 3,6 % en 2024, est globalement atone et inégale, même si une modeste reprise est prévue l’année prochaine à 4,2 %. Deuxièmement, les conditions de financement demeurent restrictives. Troisièmement, l’interaction complexe entre la pauvreté, le manque de débouchés et la mauvaise gouvernance, conjugués à des augmentations du coût de la vie et à des difficultés à court terme liées aux ajustements macroéconomiques, nourrissent les frustrations sociales. Dans ce contexte, les décideurs doivent se livrer à un véritable exercice d’équilibriste consistant à concilier quête d’une stabilité macroéconomique, réponse aux besoins de développement et assurance de l’acceptabilité sociale et politique des réformes. Il sera essentiel de protéger les plus vulnérables des coûts de l’ajustement et de mettre en œuvre des réformes qui créent suffisamment d’emplois pour mobiliser le soutien public.
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