La liste des Perspectives économiques régionales
Trier par: Date Région
2024
Mise à jour des Perspectives économiques régionales : Moyen-Orient et Afrique du nord, janvier 2024
le 31 janvier 2024
Description: Le conflit à Gaza et en Israël constitue un nouveau choc pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord. Cette mise à jour présente des projections révisées pour la région.
2023
PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES RÉGIONALES : MOYEN-ORIENT ET ASIE CENTRALE
le 12 octobre 2023
Description: Au Moyen-Orient et en Asie centrale, les effets conjugués de vents contraires à l’échelle mondiale, de difficultés intérieures et de risques géopolitiques pèsent sur la dynamique économique, et une grande incertitude entoure les perspectives. La croissance devrait ralentir cette année dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, sous l’effet d’une réduction de la production de pétrole, de politiques restrictives dans les pays émergents et pays à revenu intermédiaire, du conflit au Soudan et d’autres facteurs propres aux pays.
PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES RÉGIONALES POUR LE MOYEN-ORIENT ET L'AFRIQUE DU NORD
le 3 mai 2023
Description: Les pays du Moyen-Orient et d’Asie centrale (région MOAC) ont fait preuve de résilience en 2022 face à une série de chocs d’envergure mondiale. Cependant, en 2023, et potentiellement en 2024, la croissance devrait ralentir au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (région MOAN) dans la mesure où les politiques restrictives visant à combattre l’inflation, à atténuer les vulnérabilités et à reconstituer des volants de sécurité commenceront à peser sur l’activité économique dans de nombreux pays tandis que les baisses de production de pétrole déjà approuvées freineront la croissance des exportateurs de pétrole. Quant à l’inflation, elle devrait persister2. Les perspectives pour les pays du Caucase et d’Asie centrale (région CAC) sont fortement tributaires de facteurs extérieurs, à savoir les consequences du durcissement monétaire et le dynamisme de la croissance chez leurs principaux partenaires commerciaux, l’ampleur des transferts privés et l’afflux d’immigrés en provenance de Russie. Les incertitudes sont grandes et les risques de révision du scénario de référence sont orientés à la baisse dans un climat marqué par des inquiétudes quant à la stabilité financière, en particulier dans les pays avancés du fait de craintes de contagion. Les arbitrages sont encore plus délicats qu’auparavant, et les décideurs devront judicieusement définir le dosage des politiques afin de réduire l’inflation hors alimentation et énergie sans provoquer de tensions ou de resserrement excessif sur le plan financier et continuer d’apporter un soutien budgétaire ciblé aux groupes vulnérables tout en préservant la viabilité de la dette et la stabilité financière. La mise en oeuvre de politiques monétaires et budgétaires rigoureuses dans la region alors que les conditions financières mondiales sont restrictives appelle une accélération des réformes structurelles de façon à stimuler la croissance potentielle et à renforcer la résilience.
2022
Perspectives économiques régionales, Moyen-Orient et Asie centrale
le 13 octobre 2022
Description: Perspectives économiques régionales, Moyen-Orient et Asie centrale
Perspectives économiques régionales : Moyen-Orient et Asie centrale, avril 2022
le 27 avril 2022
Description: 27 avril, 7h00 HE. Publication du rapport complet sur les perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l'Asie centrale avec des projections de croissance régionales actualisées et une conférence de presse avec : FMI Jihad Azour, directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI et Wafa Amr, responsable de la communication.
2021
Perspectives économiques régionales : Moyen-Orient et Asie centrale, octobre 2021
le 19 octobre 2021
Description: • La fragile reprise se poursuit : le PIB réel dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MOAN) devrait augmenter de 4,1 % en 2021 comme en 2022, après la brusque contraction de l’an dernier. Dans la région Caucase et Asie centrale (CAC), le PIB réel devrait augmenter de 4,3 % en 2021 et de 4,1 % en 2022.
Perspectives économiques régionales : Mieux construire l’avenir au sortir de la pandémie
le 11 avril 2021
Description: Un an après le début de la pandémie de coronavirus (COVID-19), la course de vitesse entre les vaccins et le virus est entrée dans une nouvelle phase au Moyen-Orient et en Asie Centrale, et le chemin vers la reprise économique en 2021 devrait être long et différer d’un pays à l’autre. Les perspectives varieront considérablement en fonction de la trajectoire de la pandémie, du déploiement des vaccins, des fragilités sous-jacentes, de l’exposition au tourisme et aux secteurs à forte intensité de contacts, et enfin de la marge de manœuvre et des interventions gouvernementales. En 2021–22, les besoins de financements publics bruts devraient rester élevés dans la majorité des pays émergents de la région, avec des risques de détérioration de la situation en cas de resserrement des conditions financières mondiales ou si les rééquilibrages budgétaires tardent en raison d’une reprise moins vigoureuse que prévu. L’année 2021 sera celle des politiques visant à continuer de sauver des vies et protéger des moyens de subsistance ainsi qu’à promouvoir la reprise, tout en préservant impérativement la viabilité de la dette et la résilience financière. Dans le même temps, les dirigeants ne doivent pas non plus perdre de vue les défis de la transformation : il s’agit de mieux construire l’avenir et d’accélérer la transition vers des économies plus inclusives, résilientes, durables et vertes. La coopération régionale et internationale sera le complément indispensable de politiques nationales déterminées.
2020
Perspectives économiques régionales : Moyen-Orient et Asie centrale
le 19 octobre 2020
Description: Les pays des régions Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan (MOANAP) et Caucase et Asie centrale (CAC) ont réagi à la pandémie de COVID-19 en prenant rapidement des mesures strictes afin d’en atténuer la propagation et les répercussions, mais continuent de faire face à un environnement incertain et difficile. Les pays exportateurs de pétrole ont été particulièrement touchés par le double choc des retombées économiques des confinements et de la chute de la demande et des prix du pétrole. Dans l’immédiat, il reste prioritaire de maitriser la crise sanitaire, d’atténuer les pertes de revenus et d’accroître les dépenses sociales. Cependant, les pouvoirs publics doivent aussi commencer à poser les jalons de la reprise et de la remise en place d’économies plus solides, notamment en s’attaquant aux séquelles de la crise et en renforçant l’inclusion.
Mise à jour des perspectives économiques régionales : Moyen-Orient et Asie centrale
le 13 juillet 2020
Description: La région Moyen-Orient et Asie centrale (MOAC) a réagi à la pandémie mondiale de COVID-19 en prenant rapidement des mesures contraignantes qui ont permis de sauver des vies. Ces mesures ont cependant eu de vastes répercussions sur l’activité économique de chaque pays. Alors que plusieurs pays de la région commencent à ouvrir ces dernières semaines et que l’activité reprend légèrement depuis peu, l’augmentation du nombre de cas pourrait présenter des risques. Un net déclin des cours du pétrole qui s’ajoute à une réduction de la production dans les pays exportateurs de pétrole et à des perturbations du commerce et du tourisme ont créé de nouvelles turbulences. Une contraction de 4,7 % est maintenant prévue pour la région en 2020, soit un taux de croissance inférieur de 2 points de pourcentage à celui prévu en avril 2020.
Faire face à la pandémie de COVID-19 au Moyen-Orient et en Asie centrale
le 15 avril 2020
Description: Les pays de la région du Moyen-Orient et de l’Asie centrale subissent deux grands chocs qui se renforcent l’un l’autre, entraînant une forte révision à la baisse des projections de croissance pour 2020. Outre les effets dévastateurs sur la santé, la pandémie de COVID-19 et la chute des prix du pétrole causent de sérieuses turbulences économiques dans la région ; les pays fragiles et les pays touchés par un conflit devraient particulièrement souffrir, compte tenu de leurs problèmes déjà considérables dans le domaine humanitaire et sur le plan des réfugiés, ainsi que de l’insuffisance de leurs infrastructures sanitaires. La priorité immédiate est de prendre des mesures pour sauver des vies et engager les dépenses de santé qui s’imposent, quel que soit l’espace budgétaire disponible, tout en protégeant les moteurs de la croissance par un appui ciblé aux ménages et aux secteurs durement touchés. Dans ce contexte, le FMI fournit une aide d’urgence aux pays de la région en cette période difficile. À terme, les pays devront promouvoir la reprise économique en adoptant de vastes mesures budgétaires et monétaires s’ils disposent d’une marge de manœuvre, et en sollicitant une aide extérieure si cette marge est réduite.